Pétition – Canal FM sera-t-elle bientôt réduite au silence ?

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 16 avril 2013

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Canal FM sera-t-elle bientôt réduite au silence ?

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Pour soutenir votre radio de territoire, cliquez sur   http://www.petitionduweb.com/Petition_non_a_la_fermeture_de_canal_fm-1000842.html

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1er mai 2013

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 16 avril 2013

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La CGT

1er Mai 2013

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Mobilisation solidaire internationale

de tous les travailleurs

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Pour le progrès social,

mettons les pieds dans le plat !

 

De l’argent, il y en a dans les poches du patronat, dans les coffres des possédants, dans les banques, ici ou dans les paradis fiscaux, sur les marchés financiers partout dans le monde. Il circule, il se cache, il est surabondant.

C’est cet argent qui ne va pas à l’investissement productif, au logement, au développement des services publics, à la protection sociale. C’est cet argent qui manque en fin de mois aux salariés condamnés aux petits salaires, au chômage, aux petites retraites, aux minima sociaux.

Partout, on nous dit que nous coûtons trop cher !

Mais c’est nous qui, par notre travail, créons la richesse !

Alors oui, il est temps que les salariés mettent les pieds dans le plat

Pour sortir de la crise :

  • Augmentons d’abord les salaires. En France, le salaire minimum d’embauche d’un jeune sans diplôme doit être porté à 1700 euros. C’est à partir de ce salaire minimum que nous reconstruirons partout des grilles salariales. Ce sont les salaires qui alimentent les caisses de la protection sociale pour la santé, la retraite, l’assurance chômage. Partout dans le monde il faut un salaire minimum pour empêcher le dumping social généralisé.
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  • Développons l’emploi. Nous refusons la mise en concurrence des sites, des salariés entre eux dans les différents pays. Tous les travailleurs et les entreprises en souffrent ! Les banques, les financiers doivent être contraints de diriger l’argent vers l’investissement productif créateur d’emploi. Nous exigeons des mesures immédiates pour arrêter de brader nos outils de production mais au contraire pour développer notre appareil productif, les services publics et permettre une reconquête industrielle. Des filières entières sont à recréer ou à créer, des centaines de milliers d’emplois sont en jeu.
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  • Protégeons les salariés des aléas de la vie professionnelle et sociale. Notre syndicalisme a été créateur de notre sécurité sociale, de nos retraites par répartition, de l’assurance maladie, des allocations familiales, de l’assurance chômage. Non seulement nous les défendons mais nous proposons de les étendre. Partout dans le monde, les travailleurs ont besoin de cette protection et nous envient.
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    C’est à cette protection sociale qu’aspirent les travailleurs en Chine, au Bangladesh, en Amérique latine et dans tant de pays.C’est aussi à un droit du travail protecteur pour les salariés. Or c’est ce droit du travail dans lequel coupe à la hache l’accord interprofessionnel du 11 janvier et sa transposition dans la loi. Celle-ci protège les employeurs et flexibilise davantage les salariés. Un comble ! De la flexibilité, du dumping social, des chantages patronaux il y en déjà trop.La CGT propose au contraire une sécurité sociale professionnelle qui redonne des droits aux salariés, permettrait la continuité du contrat de travail, une protection contre les aléas de la vie professionnelle.

Salariés , dans le monde entier nos intérêts sont communs !

Construire l’unité des salariés pour faire naître l’espoir

Partout, la même politique d’austérité et la restriction des droits démocratiques est imposée aux salariés et aux populations. Elles aggravent la crise, plongent les peuples dans la misère et provoquent la récession notamment dans toute la zone euro.

Pour être plus fort, il faut se rassembler !

Les salariés doivent construire leur unité avec leurs organisations syndicales depuis leur lieu de travail jusqu’à l’échelle mondiale.

Le patronat défend ses intérêts    ► défendons nos intérêts de salariés

Ils veulent nous mettre en concurrence

                    ►Opposons-leur notre solidarité

Ils nous imposent l’austérité

                    ►Augmentons les salaires

Ils provoquent la récession

                    ►Créons une dynamique économique et sociale de progrès

Ils provoquent le chômage

                    ►Nous voulons travailler, produire, développer l’emploi

Ils bafouent les droits syndicaux Ils bafouent les droits syndicaux et les libertés démocratiques

                    ►Imposons une extension des droits, des libertés et de la démocratie

Ils spéculent

                    ►Dirigeons l’argent vers l’investissement productif

Ils sécurisent les employeurs et flexibilisent les salariés

                    ►Sécurisons les salariés et responsabilisons les employeurs

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Le 1er Mai 2013, mobilisons-nous partout

contre l’austérité, pour l’emploi et le progrès social

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1er mai 2013 à Maubeuge…

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 15 avril 2013

1er mai 2013 à Maubeuge... dans Actions_locales eglantine

1er mai 2013

Ensemble on se bat !

Justice sociale, Emploi, Salaires, Retraites, Conditions de travail

Rendez-vous

  • 9h30
    Départ du défilé – Espace V. Hugo, puis vers la Stèle de la Mairie de Maubeuge et retour à l’Espace V. Hugo
  • 11h30
    Vin d’honneur
  • 12 h
    Repas festif et fraternel, animations
    Barbecue, crudités, fromages, tartes
  • Adultes : 10 €
    Enfants – de 12 ans : 5 €

    Boissons non comprises

Inscriptions repas, Au plus tard le 27 avril 2013 :  cgt.maubeuge@laposte.net

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Sécurité sociale – Branche famille – Allocations familiales

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 15 avril 2013

CGT

Rapport du Haut Conseil de la Famille :

encore plus d’austérité pour les familles !

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Le premier ministre a commandé à Bertrand Fragonard, président du Haut Conseil à la Famille, un rapport pour étudier divers scénarios de réformes des prestations familiales destinés  à réaliser plus de 2 milliards d’économies pour ramener la branche Famille de la Sécurité sociale à l’équilibre financier.

Le déficit de la branche Famille évalué à 2,6 milliards pour 2013 est en réalité un prétexte pour porter un coup décisif au principe de l’universalité des AF respecté depuis la création de la Sécurité sociale. En effet, ce rapport préconise la modulation du montant des allocations familiales, en fonction des ressources des familles et porte atteinte à d’autres prestations telle celle de la PAJE (prestation d’accueil du jeune enfant).

Le concept de familles aisées entretenu dans ce rapport stigmatise en particulier les couples bi actifs, considérés comme riches dès lors qu’ils percevraient plus de  3885€ de revenus salariaux et pour qui il faudrait donc réduire les AF !
Cette position totalement injuste ne ferait que pénaliser le second salaire du ménage, en l’occurrence celui des femmes. Nous sommes donc très loin de tous les discours sur la nécessaire égalité femmes/hommes, notamment du point de vue des politiques salariales.

Pour la CGT, la modulation du montant des AF en fonction des revenus constitue une rupture historique des politiques familiales : c’est la fin de l’universalité de ces droits qui permettaient à toutes les familles de réduire leurs charges pour élever leurs enfants et donc trouver une juste compensation au regard des ménages sans enfants.

Ce rapport aborde également l’amélioration de certaines prestations ciblant les familles nombreuses et monoparentales, majorant d’une part le complément familial et d’autre part l’allocation de soutien familial.
La CGT est favorable à ces mesures car globalement notre système de compensation des charges familiales est très insuffisant au regard du coût réel de l’enfant. Mais ces propositions demeurent largement insuffisantes (environ 700 millions étalés sur 5 ans !) et ne résultant pas de recettes nouvelles pour les financer, elles grèveront les prestations d’autres familles.

Les prestations familiales ne sont pas conçues pour résorber la pauvreté, même si elles y contribuent de fait. Seules de véritables politiques sociales alliant des augmentations de salaires et des créations d’emplois stables pourront y parvenir. Une réforme fiscale d’envergure,  plus juste et progressiste serait également à même de réduire des inégalités frappantes qui font régulièrement la une de la presse, étalant des gains, des bénéfices et des rémunérations d’actionnaires indécents.
En effet, pour réduire les inégalités, il ne faut pas réduire les dépenses pour les familles et les populations mais trouver de nouvelles recettes. C’est ce qui contribuera à sortir de la crise en relançant la consommation et la croissance.

La CGT combattra  toutes  mesures qui ne feraient que réduire une politique familiale jugée efficace par tous les observateurs.
Elle revendique une politique familiale solidaire, fondée sur l’universalité et la démocratie et donc une réforme du financement de la Sécurité Sociale fondée sur les richesses créées par le travail.

Fait à Montreuil, le 08 avril 2013

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NORD – ANI qui a voté quoi !

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 13 avril 2013

ANI – LE VOTE DES DÉPUTÉS DU NORD

Ils ont voté POUR 

  • Bernard Roman, Audrey Linkenheld, Rémi Pauvros, Dominique Baert, Yves Durand, Christian Bataille, Christian Hutin, Jean-Pierre Allossery, Anne-Lise Dufour-Tonini.

Ils se sont réfugiés dans l’ABSTENTION 

  • Jean-Louis Borloo, Marc-Philippe Daubresse, Sébastien Huyghe, Thierry Lazaro, Francis Vercamer, Bernard Gérard, Gérald Darmanin, Jean-Pierre Decool, François-Xavier Villain.

Ils ont voté CONTRE

  • Les députés communistes et Front de Gauche Alain Bocquet, Jean-Jacques Candelier et Marc Dolez. Ils ont défendu de nombreux amendements visant à sécuriser l’emploi. Ils ont été rejetés par la majorité.

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1er mai: CFDT, CFTC et UNSA défileront pour défendre l’ANI sur l’emploi

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 13 avril 2013

DANS LA PRESSE

Social-Eco – 1er mai: CFDT, CFTC et UNSA défileront pour défendre l'ANI sur l'emploi dans Dates A Retenir humanitefr le 12 Avril 2013

1er mai:

CFDT, CFTC et UNSA défileront pour défendre l’ANI sur l’emploi

La CFDT, la CFTC et l’Unsa ont annoncé ce vendredi des initiatives communes pour le 1er mai, jour de la fête internationale du travail, pour réclamer la fin des « politiques d’austérité aveugle » en Europe et défendre l’accord sur l’emploi du 11 janvier.

Cette annonce officialise la désunion des syndicats suite à la signature de l’accord national interprofessionnel sur l’emploi, signé par le Medef, la CFDT, la CFTC et la CGC, mais pas par la CGT ni FO. Les centrales défileront ainsi en ordre très dispersé ce 1er mai: la CGT, Solidaires et la FSU d’un côté; la CFDT, la CFTC et l’UNSA de l’autre; Force ouvrière fera cavalier seul avec un rassemblement au Mur des Fédérés du Père-Lachaise à Paris.

Le 1er mai 2012, 750.000 personnes avaient défilé à l’appel de l’intersyndicale CGT, CFDT, UNSA, FSU, et Solidaires contre le spolitiques d’austérité menées par le gouvernement Fillon et les attaques anti-syndicats de Nicolas Sarkozy, alors en pleine campagne présidentielle.

Obtenir des résultats

Dans un communiqué publié ce vendredi, les trois confédérations réformistes réaffirment, , leur « soutien à l’accord emploi et sécurisation professionnelle du 11 janvier 2013 en cours de débat parlementaire et à la loi qui le transpose ». Selon elles, cet accord signé par le Medef, la CFDT, la CFTC et la CFE-CGC, mais pas par la CGT ni FO, « montre que l’action syndicale et le dialogue social permettent d’obtenir des résultats, de construire des solutions face à la crise. C’est un point d’appui pour poursuivre et amplifier la mobilisation en faveur de la croissance et de l’emploi, en protégeant mieux les salariés ».

Priorité à l’emploi

Les trois syndicats déclarent par ailleurs vouloir « ce jour-là exprimer leur solidarité et leur soutien aux travailleurs qui, partout dans le monde, n’ont pas accès aux droits fondamentaux, ne peuvent s’exprimer et s’organiser librement ». Elles soulignent aussi « le besoin de politiques européennes qui donnent véritablement la priorité à l’emploi et à la réduction des inégalités ». « Il faut mettre un terme aux politiques d’austérité aveugle qui provoquent chômage, précarité et montée des replis nationaux et des populismes », ajoutent-elles.

  • A lire aussi:

La CFDT ne défilera pas avec la CGT le 1er mai

Thierry Lepaon et le 1er mai: « Il y a beaucoup de sujet d’accord » avec les autres syndicats

S.G.

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Journée du 9 avril 2013 – Déterminés et mobilisés !

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 10 avril 2013

Publié le mardi 9 avril 2013
Journée du 9 avril

Déterminés et mobilisés

Quelques 120 000 salariés sont descendus dans la rue, dans de nombreuses villes, à l’appel de la CGT, de FO, la FSU et Solidaires.

A Paris, sous une pluie battante, ils étaient 30 000 à défiler de Montparnasse aux abords du Palais Bourbon.

Thierry Lepaon, secrétaire général de la CGT, appelle à poursuivre cette mobilisation et rendez-vous est donné pour une grande manifestation le 1er Mai.

- Voir la vidéo :  http://www.cgt.fr/Determines-et-mobilises.html

Après l’adoption par l’Assemblée, mettons la pression sur le Sénat

Par 250 voix, les députés ont adopté en première lecture une transposition de l’Accord national Interprofessionnel du 11 janvier 2013. Le gouvernement, qui voudrait que le texte soit applicable avant l’été, a décidé d’une procédure législative accélérée.
Ce texte en retient les dispositions les plus destructrices pour le droit du travail.
Même si certaines d’entre elles ont dû être corrigées suites aux nombreuses réactions que ce projet suscite, l’essentiel demeure : flexibilité, mobilité forcée, chantage à l’emploi pour baisser les salaires …, autant de reculs sociaux qui nécessitent de poursuivre l’information et la mobilisation des salariés.

Il y a urgence à continuer de se mobiliser !

Depuis des années, le Medef veut faire croire que « les licenciements d’aujourd’hui font les emplois de demain », qu’il faut flexibiliser le travail pour que « les employeurs n’aient pas peur d’embaucher ». Mais chaque jour, c’est 1 000 salariés de plus qui se retrouvent au chômage. Les plans de départs « volontaires » et le nombre de ruptures conventionnelles explosent. Dans les grands groupes, les licenciements boursiers jettent à la rue des milliers de salariés, directs et sous-traitants et continuent de ravager des pans entiers de notre économie. Et il faudrait encore flexibiliser ?! Il faudrait encore plus sécuriser les licenciements ?

L’accord Medef du 11 janvier prétend poser les bases d’un « nouveau modèle économique et social. Quelques exemples :
- il détruit les garanties collectives nationales comme socle minimal applicable à chaque salarié quelle que soit la taille de son entreprise. Il favorise les accords d’entreprise, voire le « gré à gré », en « oubliant » que le salarié n’est pas libre de ses choix, seul face à son employeur ;
- le contrat de travail signé n’est plus une garantie pour le salarié puisqu’il peut être suspendu (jusqu’à 2 ans !) par un accord d’entreprise ;
- la mobilité imposée devient la règle, même si le contrat de travail ne la prévoyait pas, avec pour sanction le licenciement si le salarié la refuse ;
- il réduit les moyens pour le salarié d’obtenir réparation auprès de la justice, par exemple en ne permettant pas de remonter au-delà de trois ans pour demander aux Prud’hommes des salaires ou des heures supplémentaires non payées. Cette mesure va particulièrement frapper les salariés des petites entreprises dépourvues de syndicats ;
- la consultation sur la réalité du motif économique s’efface derrière la négociation sur le contenu du « plan de sauvegarde de l’emploi » et le processus de consultation du CE. À quoi pourra bien servir une éventuelle loi sur les licenciements boursiers si on ne peut plus débattre de la véracité du motif économique ?

Pour faire baisser le chômage, il faut sortir du toujours plus flexible, du toujours plus précaire !

La CGT revendique :
- un droit de veto suspensif des représentants du personnel sur les plans de licenciement et les plans de restructuration, permettant la recherche et la construction de propositions alternatives aux licenciements ;
- une loi contre les licenciements boursiers et pour la reprise des sites rentables, en cas de menace de fermeture ;
- la généralisation de la présence des représentants des salariés dans les conseils d’administration et de surveillance avec voix délibérative ;
- une gestion prévisionnelle des emplois qui ne soit pas une gestion prévisionnelle des suppressions d’emplois ;
- l’encadrement des ruptures conventionnelles et la lutte contre le passage forcé à l’auto-entreprenariat ;
- des instances représentatives interentreprises du personnel pour gagner une plus grande responsabilité des donneurs d’ordre vis-à-vis de leurs sous-traitants ;
- des CHSCT centraux à l’instar des CCE, avec respect des droits et moyens pour les CHSCT locaux ;
- l’extension du contrat de sécurisation professionnelle à tous les salariés des entreprises de moins de 50 salariés et l’amélioration du congé de reclassement dans les entreprises de plus de 50 ;
- la construction d’un droit au travail à temps plein, sur un bassin d’emplois, pour les salariés pouvant cumuler plusieurs temps partiels ;
- des droits attachés à la personne, transférables d’une entreprise à une autre pour tous les salariés (ancienneté, qualification, formation, prévoyance…) à négocier au niveau des branches ;
- une taxation de tous les CDD et des contrats d’intérim, à hauteur de ce qu’ils coûtent à l’assurance chômage ;
- un compte individuel de formation opposable à l’employeur et un renforcement des droits à la formation professionnelle qualifiante pour chaque salarié, quel que soit son parcours.

Les mobilisations du 5 mars, puis du 9 avril l’interpellation des parlementaires ont permis des premiers « bougés » entre l’Accord du 11 janvier et le projet de loi adopté par les députés.

Le salarié qui refuserait une mobilité forcée ou la suspension des garanties de son contrat de travail (salaire, horaires,..) ne serait plus licencié pour « motif personnel » mais subirait un licenciement « reposant sur un motif économique ». C’est bien le moins pour tenter de respecter le droit international !

Les délais fixés préalablement au CE pour qu’il rende son avis doivent lui « permettre d’exercer utilement sa compétence » et donc ne pourront pas être inférieurs à… quinze jours.

La consultation du CE doit avoir lieu… « avant que les orientations stratégiques ne soient définitivement arrêtées » ( !).

Des représentants des salariés dans les conseils d’administration avec voix délibérative sont maintenant prévus dans les « sociétés  » qui emploient au moins 5 000 salariés « avec leurs filiales directes ou indirectes » sur le territoire national, et non plus dans les seules « entreprises » de 5 000 salariés et plus L’avis rendu par l’instance de coordination CHSCT se substitue aux consultations existantes des CHSCT… seulement « si l’accord d’entreprise le prévoit ».

Malgré les intenses pressions des patrons des assurances et de l’ensemble du Medef, la désignation d’un seul organisme de « complémentaire santé » pour toute une branche (donc permettant des droits égaux entre salariés de petites et grandes entreprises) reste possible.

Mais on est très, très loin du compte ! Ce projet de loi continue de sécuriser les licenciements et non pas l’emploi, de sécuriser la délinquance patronale et non pas les droits des salariés.

Les exigences du Medef ne doivent pas faire la loi.

Après cette mobilisation du 9 avril, le 1er Mai, journée internationale du Travail, sera un nouveau temps fort. A travers toute l’Europe, les salariés exprimeront leur volonté de voir apporter d’autres réponses face à la crise, l’austérité et la déréglementation sociale.

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Manifestation contre l’ANI à Maubeuge

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 9 avril 2013

« NOS DROITS SONT ENTRE NOS MAINS… »

Le 11 janvier, CFDT, CGC, CFTC et MEDEF ont signé un accord dit de « sécurisation de l’emploi » qui constitue un recul sans précédent des droits sociaux des travailleurs. Il suffit de voir la satisfaction du MEDEF pour comprendre que cet accord est surtout une grande victoire pour le patronat dans sa volonté constante de flexibiliser le travail, de faciliter les licenciements, de faire un chantage à l’emploi pour imposer des baisses de salaires ou des augmentations de temps de travail sans contrepartie.

Appel UL CGT Maubeuge et Environs  : 9 AVRIL 2013 : TOUS EN GRÈVE ET EN MANIFESTATION !

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Aujourd’hui à Maubeuge,

Une centaine de manifestants a défilé sous la pluie, selon le parcours : place hôtel de ville, centre ville, mail de la sambre, boulevard de l’europe et retour place hôtel de ville.

CGT MAUBEUGE ENVIRONS
Album : CGT MAUBEUGE ENVIRONS
MANIFESTATION CONTRE LA TRANSPOSITION DE L'ANI 9 AVRIL 2013
34 images
Voir l'album

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CHSCT – Philippe Toulouse en garde à vue !

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 8 avril 2013

UD CGT NORD

Jeudi 4 avril 2013
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Philippe Toulouse en Garde à vue ! Mardi 9 avril à 9 h rassemblement devant le commissariat de police…

Depuis la dénonciation de nombreuses « fraudes » à l’AAE, le délégué syndical CGT, Philippe TOULOUSE, après avoir été victime de deux menaces de mort, subit un acharnement incompréhensible de la […]

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Les allocations familiales doivent revenir aux familles !

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 5 avril 2013

Communiqué commun : SAF, Solidaires, Syndicat de la Magistrature, FSU, CGT

Aide sociale à l’enfance

Les allocations familiales doivent revenir aux familles !

jeudi, 4 avril 2013

Le Sénat vient à la quasi-unanimité de voter une proposition de loi portée par l’UMP qui conduit à la confiscation des 2/3 des allocations familiales pour les familles dont les enfants sont placés auprès des services de l’Aide sociale à l’enfance et de la totalité de la prime de rentrée scolaire. Ces allocations seraient alors versées aux départements.

Lire la suite… »

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