Les énergies renouvelables

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 25 juillet 2011

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EXTRAIT : 

« … La CGT soutient tout particulièrement les propositions visant à créer des synergies entre métropole, territoires et Outre-mer, à organiser ou améliorer le pilotage notamment public, enfin, à imaginer des financements qui traduisent la solidarité nationale, respectent la péréquation en faveur de ces zones et soient pensés en terme d’investissements pour l’avenir… »

Document à télécharger

Les énergies renouvelables dans Energie pdf cese211.pdf

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Transports – Environnement – Fret SNCF

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 11 mars 2011

Rassemblement Fret SNCF du 10 mars 2011 à Dunkerque

11 mars 2011, par WebMaster

Le syndicat de la SNCF avec le soutien de l’interprofessionnelle ont organisée une prise de parole en place Jean Bart de Dunkerque le 10 mars 2011 sur le démantèlement du transport ferroviaire du fret, cette prise de parole a été suivie d’un entretien avec les politiques de la communauté urbaine de Dunkerque qui se sont engagé à organiser un grand débat public national du démantèlement des services publics.
Prise de parole de Didier
Mesdames, Messieurs, chers camarades,
Je me présente, Didier VILERS (…)

Lire l’article entier


Pour rappel 

La Voix du Nord – 24 novembre 2010
Triage d’Aulnoye : après le 12 décembre, « pour nous, c’est le flou total »

Voir aussi Video sur le fret Sncf

          

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SNCF – LA DIRECTION SNCF DEBOUTEE !

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 3 mars 2011

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LA DIRECTION SNCF DEBOUTEE !

     

La direction de la SNCF a cru devoir assigner en référé devant le Tribunal de grande instance de Paris le CCE-SNCF et le CE-Fret relativement à la campagne d’affichage grand public sur le fret ferroviaire.

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Le Tribunal de Paris qui a rendu sa décision cet après midi, Mercredi 02 Mars 2011, a déclaré la direction SNCF purement et simplement irrecevable en ses demandes tendant à voir reconnaître un « dénigrement qui porte atteinte à l’image du groupe SNCF ».

La Fédération CGT des Cheminots se félicite de cette décision qui confirme le rôle essentiel des élus du CE-Fret et du CCE-SNCF d’assurer l’expression collective des cheminots permettant la prise en compte permanente de leurs intérêts dans les décisions relatives à la gestion et à l’évolution économique et financière de la SNCF.

Le Tribunal de Paris a ainsi validé cette campagne d’affichage décidée par les élus des organisations syndicales représentatives au bureau du CCE-SNCF et du CE-Fret (CGT – UNSA – SUD-Rail – CFDT) pour sensibiliser largement la population, les élus politiques, les chargeurs sur l’avenir du Fret SNCF et les conséquences de la politique de casse du transport de fret ferroviaire menée par la direction SNCF et le Gouvernement.

En voulant porter cette campagne sur le terrain politico-judiciaire, gouvernement et direction sont battus.

Ces derniers feraient mieux d’écouter et d’entendre les propositions des élus et des représentants syndicaux sur le fret ferroviaire et instaurer un véritable dialogue social de qualité pour l’avenir du Fret SNCF et de l’entreprise publique.

Montreuil, le 02 Mars 2011

 

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Services publics – Transports – Infrastructures

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 30 décembre 2010

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Montreuil le 28 décembre 2010

   
Union Interfédérale des Transports    

Difficultés dans les transports : Les intempéries certes, mais le système est en cause
   

Des dizaines de milliers de voyageurs viennent de subir une situation ubuesque. Froid et neige ont mis à l’épreuve notre système de transport et infrastructures, son mode de gestion et d’administration.

Routes impraticables, bus stoppés, avions cloués au sol, trains temporairement bloqués ou retardés au delà des seules limitations de vitesses bien compréhensibles, aiguillages gelés, avions givrés, voyageurs frigorifiés et désabusés sur des quais non déneigés ou dans des terminaux devenus dortoirs, économie paralysée… ont formé la carte postale de la France en ce mois de décembre 2010 rigoureux. Moins médiatisés, nombre de salariés n’ont pu, si ce n’est dans des conditions difficiles, rejoindre leur travail ou regagner leur domicile.

Qu’il y ait des intempéries n’est pas nouveau, fussent-elles d’une intensité et d’une séquence exceptionnelles. Ce qui est surtout à remarquer et à traiter, c’est la désormais incapacité à faire face à ces situations, dont on sait, pourtant, que la saisonnalité les rend très probables. C’est le prix payé d’orientations établies sur la base d’une gestion statisticienne du risque et uniquement comptable à court terme qui, par définition, évacue les réalités. Le dévouement et l’engagement conséquent des salariés du secteur ne suffisent plus à compenser la désorganisation.

On ne peut pas avoir déstructuré tout le secteur public et les entreprises publiques concernées, privatisé à tour de bras, éclaté les fonctionnements intégrés et cohérents, supprimé plusieurs centaines de milliers d’emplois, abandonné les installations hivernales pour dégeler et leur entretien, diminué les stocks de matériels… tout cela au nom d’une marchandisation de tout, d’une réduction dogmatique des dépenses publiques et d’une gestion systématique comptable par activité spécifique, à flux tendu, et faire abstraction de leur cause le moment venu des conséquences.

Pour l’Union Interfédérale des Transports CGT, le système actuel de nos transports, formaté par la libéralisation intervenue depuis trente ans, et dont tout le syndicalisme européen demande un bilan contradictoire, est en cause. Il n’autorise pas les situations perturbées, ne permet pas d’y faire face, pire, dans ses choix stratégiques d’orientation et de gestion des entreprises concernées, qu’elles soient publiques ou privées, il n’en a que faire.

C’est vrai sur les aéroports où la sous-traitance, les concessions et délégations pullulent. C’est vrai sur les routes où la décentralisation, éclatant le réseau en plusieurs gestionnaires, laisse les collectivités locales désemparées et les agents du secteur public démunis de bras, de matériels et d’organisation mutualisée cohérente. C’est vrai sur les rails où pour supprimer encore et encore du personnel on s’est défait des installations chauffantes d’aiguillages, de l’entretien des abords, des équipes d’astreinte, des réserves à disposition immédiate…

Dans ce contexte, voir les différents protagonistes orchestrer un savant bal des faux culs en se renvoyant la balle des responsabilités, entre aéroports de Paris et les compagnies aériennes, entre Ministre, Préfets et météo France, par exemple, est intolérable. Réduire le retour d’expérience à une enquête sur l’approvisionnement du glycol ou du sel, comme l’annonce la ministre de tutelle est indécent et ridicule. Les choix et les coupes sombres dans le budget des transports ces dernières années, accentuées dans la loi de finances 2011, ont une responsabilité indéniable.

Le gouvernement et plus généralement les pouvoirs publics ne peuvent faire l’impasse sur une véritable mise à plat du système de transport, de son fonctionnement, de son organisation et des moyens associés. Ils ne peuvent faire abstraction du besoin de maîtrise publique forte de ce secteur et de la place indispensable qu’il importe de redonner à un véritable service public, capable de garantir la continuité et la meilleure gestion des aléas. Voilà qui justifierait largement une véritable et utile enquête parlementaire et un grand débat public.

  

Voir également SERVICE PUBLIC – Equipement et Environnement – Ceci explique cela !

   

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SERVICE PUBLIC – Equipement et Environnement – Ceci explique cela !

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 6 décembre 2010

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Communiqué de presse

 

La neige arrive !

Où sont les véhicules de déneigement de nos routes nationales de France ?

      

Question sempiternelle à chaque tombée de la neige de la part des usagers. En fait ce sont les usagers du réseau routier national, à coup d’annonce des services de la ministre de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement (MEDDTL), de ne plus déneiger l’ensemble des chaussées des 2×2 voies, qui vont payer un lourd tribut à leurs déplacements de plus en plus contraints par les encombrements des routes enneigées, déjà pour bon nombre d’entre elles, congestionnées en temps normal.

On entendra dire, que fait la DDE ? qui n’existe plus ! mais que font les services de l’Etat, leur Directions interdépartementales des Routes (DIR) qui vont devoir mettre en pratique les mesures d’abaissement du niveau de service d’exploitation de la viabilité hivernale pendant l’hiver. Cela conduirait, si elles sont appliquées, à ne plus déneiger la voie de gauche des routes nationales (hors les autoroutes à péages qui maintiendrait leur niveau de service) que seulement 8 heures après les chutes de neiges !

En réalité, la vraie raison de ce choix se situe dans la logique insensée de faire des économies sur les services publics et cette fois ci sur le service public routier de l’entretien et d’exploitation des routes nationales. Sans doute un message on ne peut plus clair du Gouvernement, qu’il faut se tourner vers les concessions autoroutières à péages qu’il préconise à longueur de débat public sur les projet d’infrastructures, pour pérenniser un bon niveau de service toute l’année grâce au racket du tiroir caisse des péages autoroutiers aux mains des actionnaires des sociétés d’autoroutes privées depuis 2006 !

Le Gouvernement annonce, dans le projet de Loi de finances 2011, en discussion au Parlement, une baisse de 10% des crédits de fonctionnement des routes nationales, qui sont consacrés principalement à l’exploitation et au traitement des chaussées pendant la période hivernale (service spécifique de la viabilité hivernale considéré par les agents comme une missions emblématique des ex DDE !) et qui passeront de 169 millions d€ en 2010 à 153 millions d€ en 2011 ; cette réduction s’inscrit dans la baisse de 27% des crédits d’entretien en 2011. A cela, il convient d’ajouter la réduction continue des personnels d’exécution voulu par ce gouvernement. Ceci explique cela !

Après la rigueur de l’hiver 2010, il s’en est suivi une dégradation de l’indicateur mesurant l’état des chaussées et des ouvrages ; il n’est donc pas acceptable de contraindre les services publics et leurs moyens en 2011. Il faut dire non ! à cette logique dogmatique de désengagement financier de l’Etat pour le déneigement, l’entretien et la sécurité. L’hiver arrive, ce n’est pas le moment d’affaiblir le service public de la viabilité hivernale sur les routes nationales ; c’est un contre sens !!!.

Montreuil, le 25 novembre 2010

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