Justice sociale, le gouvernement se prononce contre…

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 25 avril 2013

Lu dans PRESSE MÉDIA

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Politique – humanitefr dans LIBERTES DROITS ACTIONS JURIDIQUES le 24 Avril 2013

Le gouvernement se prononce

contre l’amnistie sociale

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Malgré le vote positif au Sénat, le gouvernement sous pression se prononce contre la loi, proposée par le Front de gauche, dite d’amnistie sociale. C’est le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, qui l’a annoncé ce matin : « Le gouvernement manifestera son opposition claire et ferme à toute forme d’amnistie ».

Alors que la proposition de loi communiste, déjà adoptée au Sénat, doit être examinée le 16 mai prochain à l’Assemblée, le ministre Alain Vidalies a affirmé sur France Info que « la position du gouvernement dans ce débat sera non, nous ne sommes pas favorables à cette amnistie, ni à aucune autre ». « Ca a été la position du président de la République depuis l’origine et ce qui se passe en ce moment montre qu’il faut avoir une seule réponse, le respect de la loi républicaine pour tous ».
« Le droit à manifester, le droit à faire grève sont des grands principes constitutionnels. Mais justement, pour respecter la force de ces principes, il ne faut pas permettre en quelque moment que ce soit des débordements » qui « entrent dans le champ de la loi pénale ».  

Une loi de justice sociale

La commission des lois de l’Assemblée devrait examiner ce mercredi le texte, adopté au sénat le 27 février, avec les suffrages de plusieurs sénateurs socialistes et appuyé par la CGT. Déposée par les sénatrices Annie David et Éliane Assassi, cette loi prévoit l’annulation des condamnations pénales pour des faits commis à l’occasion de mouvements sociaux ou d’activités syndicales ou revendicatives. Mais aussi l’amnistie des sanctions disciplinaires dans l’entreprise, la réintégration des salariés licenciés et la suppression des empreintes génétiques et autres informations nominatives recueillies lors des procédures judiciaires.

amnistie2 dans METALLURGIE

«  »Salariés taisez-vous, patrons vous avez les mains libres pour réprimer » : voilà le message du gouvernement qui choisit ainsi son camp : celui du Medef contre les travailleurs » résume le Parti de gauche dans un communiqué.  « Déjà réduit au sénat en excluant les militants de RESF et les défenseurs de l’environnement, le texte y avait malgré tout trouvé une majorité. C’en était trop pour le gouvernement qui appelle à un nouveau coup de force contre la représentation nationale et sa propre majorité ! »

Et la violence des patrons

Début mars, Jean-Luc Mélenchon pointait déjà du doigt Laurence Parisot, qui « cherche à assimiler l’amnistie sociale à un encouragement au « cassage ». Elle veut faire passer les salariés et les militants en lutte pour de vulgaires casseurs. Je dénonce son silence sur la violence patronale, les licenciements boursiers, la violence que les travailleurs retournent contre eux-mêmes par les suicides au travail. »
Comme un triste écho, un salarié de chez Renault s’est suicidé sur son lieu de travail cette semaine, à l’usine de Cléon, laissant une lettre dans laquelle il dénonce « pression » et « chantage » de la part du groupe, nommant directement Carlos Ghosn, le PDG du groupe.

Pierre Laurent en appelle à la responsabilité des députés, les enjoignant de respecter le vote du Sénat. « Dès aujourd’hui, j’appelle à ne pas laisser faire ce mauvais coup. La parole doit revenir aux députés de gauche qui peuvent, comme leurs collègues du Sénat, voter cette loi le 16 mai. »

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9 avril : mobilisation nationale interprofessionnelle

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 4 avril 2013

CGT

Publié le mardi 2 avril 2013

9 avril : mobilisation nationale interprofessionnelle

Vidéo et appel Clic sur le titre

Les exigences du Medef ne doivent pas faire la loi !

9 avril : mobilisation nationale interprofessionnelle dans Actions_nationales carte_de_france_manifs-4

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Communiqué CGT PSA Aulnay

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 3 avril 2013

Communiqué CGT PSA Aulnay dans Conditions de travail comm-de-presse-cgt_psa_aulnay-208x300

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CGT PSA AULNAY – Lettre d’information n°11

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 26 mars 2013

CGT
PSA Aulnay

Lettre d’information n°11 – 26/03/2013

A LA UNE

10 semaines de grève, et toujours debout !

Nous sommes en grève depuis le 16 janvier. Et à l’époque, bien peu d’entre nous auraient parié que cela devait durer autant. Depuis, nous avons fait face à tout : les vigiles et les dizaines de cadres déployés par la direction pour nous intimider ; le licenciement de camarades, pour des motifs aussi lamentables que « jet d’œuf » ou « joue du tambour » ; la presse, qui nous a traités de « voyous » ; le gouvernement, solidaire de la direction de PSA ; les convocations de copains à la sûreté territoriale, avec la menace de poursuites judiciaires ; les CRS qui nous accompagnent dans tous nos déplacements, etc.

Mais rien de cela ne nous fait céder, pour une raison simple et juste : nous cherchons à sauver nos emplois, et nous défendons nos camarades sanctionnés par des patrons aussi dénués de scrupules que cupides.

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CGT PSA Aulnay – Infos

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 18 mars 2013

CGT
psa aulnay

Clic sur le titre

Une grève solide

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CGT PSA Aulnay – Lettre – Pétition

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 22 février 2013

CGT PSA Aulnay

Lettre d’information n°9

22/02/2013

A LA UNE

5 semaines de grève… et nous ne sommes pas fatigués ! 

La grève, commencée le 16 janvier, est donc entrée dans sa 6e semaine. La solidarité financière continue à grossir notre caisse de grève. Grâce à elle nous pouvons tenir. Jeudi 21 février, elle se montait à 210 000 € collectés et 40 000 € de promesses. La collecte se poursuit, auprès des mairies, des péages, comme à Senlis lundi 18 février, ou auprès des travailleurs d’autres entreprises. Partout, les réactions que nous avons montrent que, les patrons et les médias ont beau nous traiter de « voyous », notre lutte est largement soutenue car elle est juste !

Pendant ce temps, la direction perd de plus en plus de voitures à Aulnay. Et en plus, la grève des salariés de Lear, le fournisseur de sièges, paralyse la production de l’usine de Poissy (208, C3 et DS3).

Grève et visite à l’usine Lear 

L’usine de sièges de Lear de Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise) est en grève depuis jeudi 14 février contre un plan de suppressions d’emplois. Cette usine approvisionnant en sièges l’usine de Poissy, la production de voitures est bien bloquée là-bas. 4000 voitures sans sièges sont sorties des chaînes. Avis aux acheteurs !

A 250, nous avons rendu visite aux camarades de Lear ce mercredi 20. Les CRS nous attendaient lundi 18 et mardi 19, mais pas mercredi ! Ce fut un grand moment de fraternité ouvrière dans la lutte. Les grévistes de Lear nous ont expliqué leur combat, nous en avons fait de même. C’est en fait un seul et même combat, contre les licenciements. Cette rencontre a renforcé la détermination de tout le monde.

Visite à PSA Poissy

Dans la foulée, toujours à 250, nous nous sommes également rendus à l’usine PSA de Poissy. Nous avons été chaleureusement accueillis par la cinquantaine de travailleurs qui débrayaient pour les salaires. Car la direction de PSA ne se contente pas de licencier. Elle bloque les salaires en annonçant « zéro augmentation générale pour 2013 » et prépare des « négociations » sur les accords de compétitivité, comme à Renault : augmentation du temps de travail, blocage des salaires et mobilité inter-sites obligatoire.

Débrayage à SevelNord

A SevelNord (Valenciennes-Hordain), où un accord de compétitivité a été signé, les salariés ont débrayé lundi 18 car la direction voulait muter provisoirement des salariés vers d’autres usines de la région.

En clair, la direction de PSA se porte de moins en moins bien, et c’est tant mieux !

Rencontres avec le faux-médiateur et la direction

Trois rencontres ont eu lieu avec le faux-médiateur et la direction de PSA, en la personne de Philippe Dorge. En substance, M. Dorge a demandé aux grévistes de laisser redémarrer la production… sans rien céder sur nos revendications. La direction refuse toujours de négocier sérieusement.

En l’état : pour ceux qui décideraient de quitter PSA, aucune garantie d’obtenir un CDI, une prime de licenciement s’élevant seulement à 9 mois de salaires. Et pour ceux qui choisissent la mutation à Poissy ou un autre site : ni garantie de logement, ni de garder son poste, et une prime de transfert de seulement 5000 euros !

Alors si PSA veut que la production redémarre, c’est très simple : qu’ils accèdent à nos revendications ! En effet, quand ils essayent de redémarrer la production à Aulnay, ils n’y arrivent pas car ce sont les non grévistes qui les envoient promener.

PSA n’en a pas fini avec les travailleurs d’Aulnay… et d’ailleurs !

Pétition : Non aux poursuites contre les salariés en lutte !

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CGT PSA Aulnay – Lettre d’information n° 8 – Pétition

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 18 février 2013

Lettre d’information n°8

17/02/2013

A LA UNE

La grève à l’usine d’Aulnay

Lundi 11 février et toute la semaine jusqu’au vendredi 15, la grève a été reconduite. Nous sommes donc entrés dans notre cinquième semaine de grève. Notre détermination est intacte malgré tous les coups portés par la direction et nous constatons qu’elle a échoué dans ses plans pour nous affaiblir.

Le gouvernement essaye de nous berner

Mercredi 6 février nous sommes allés au Stade de France interpeler Hollande sur la fermeture de l’usine et les promesses faites cet été. Nous avons été reçus par le secrétaire général adjoint de l’Elysée qui a promis d’intervenir à propos des vigiles illégalement présents sur le parking de l’usine. Il a aussi promis de nommer un médiateur et la tenue d’une réunion tripartite avec le ministère du travail cette fois. Car plus aucun salarié ne veut entendre parler de Montebourg.

Certes, dès le vendredi suivant, les vigiles disparurent du parking de l’usine. La direction les avait rangés à la niche dans un des bâtiments de l’usine. Mais le gouvernement essaya de reculer sur la nomination d’un médiateur, car la direction de PSA n’en voulait pas. Il a fallu qu’on aille nous-mêmes le chercher à l’Elysée le jeudi 14 février pour que le gouvernement tienne ses promesses. Et encore, il a nommé le directeur départemental du travail, sans lui donner la moindre pouvoir de médiation, que ce soit sur les menaces de licenciements disciplinaires ou sur la réouverture de la négociation du plan social.

Malgré tout, les grévistes ont marqué un point, car ils ont imposé au gouvernement de les entendre.

La direction de nouveau mise en échec.

Si le gouvernement a bien été obligé de nous entendre, c’est uniquement parce que la grève dure. La direction a raté toutes ses tentatives pour nous diviser et briser la grève. Elle n’a pas réussi à faire venir des travailleurs du groupe pour remplacer les grévistes. Les commandos de chefs ne suffisent pas à intimider les grévistes et surtout ils n’ont pas réussi à empêcher ceux-ci de discuter et de renforcer les liens avec les non grévistes. Au contraire même. Bien des non grévistes ont refusé de continuer à supporter les cadres présents autour d’eux.

Vendredi 7 février, au Ferrage, une centaine d’ouvriers grévistes et non grévistes se sont réunis en Assemblée Générale. Les discussions ont été fructueuses et fraternelles. Nous avons convaincu un certain nombre de non grévistes de nous rejoindre le lundi et le mardi suivants dans la lutte.

En effet ces jours là, il y avait ce que la direction espère être la dernière réunion de négociation et en même temps une convocation pour licenciement d’un des 6 camarades. Mardi 12 février, c’est à plus de 400 que nous avons accompagné notre camarade Najib, menacé de licenciement pour avoir jeté un œuf sur un cadre.

Un projet qui ne passe pas

Mardi 12 février, la direction faisait donc avaliser par des syndicats complaisants son projet de nous jeter dehors sans rien. Elle voudrait qu’on accepte que des vieux travailleurs se retrouvent au chômage et au RSA. Elle voudrait qu’on accepte des congés dits de reclassements payés à 78% du net, sans aucune garantie d’emploi à la fin. Elle voudrait qu’on accepte des mutations à Poissy sans garantie de retrouver son poste, sans garantie de logement et dans des conditions financières misérables. La direction peut obtenir la signature de syndicats complaisants. Ce sont les travailleurs d’Aulnay qui décident et eux seuls. Grévistes comme non grévistes exigent toujours la même chose : un CDI pour tous et une préretraite à 55 ans pour les anciens.

Des licenciements intolérables

Deux de nos camarades ont donc reçu leur lettre de licenciement vendredi 15 février. La direction veut se débarrasser d’aux car ils font partie des militants de la grève. Elle croit nous casser avec ces attaques. Mais elle ne fait que renforcer la colère de tous. Il est hors de question de les abandonner.

Le combat continue plus que jamais !

Et dans ce combat les marques de soutien se multiplient. Notre caisse de grève a recueilli plus de 200 000 euros qui nous aideront à tenir bon. Des personnalités ont signé la pétition contre les sanctions : Bernard Thibault, Thierry Lepaon, Annick Coupé, M.G. Buffet (PCF), O. Besancenot (NPA), Aline Archimbaud (EELV), N. Arthaud (LO), des artistes, des intellectuels et de nombreux anonymes, des travailleurs de tout le pays qui nous adressent leur soutien qui nous fait si chaud au cœur.

Non aux poursuites et aux menaces de licenciements contre les salariés en lutte

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Manifestation des Mittal à Strasbourg : « On ira leur Brûler l’ Elysée s’il le faut »

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 9 février 2013

4mn de vidéo pour bien comprendre…
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PSA Aulnay – Au cœur de l’usine

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 7 février 2013

DANS LA PRESSE

- PSA Aulnay - Au cœur de l'usine dans Actions_régionales humanitefrle 6 Février 2013

Au cœur de l’usine

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CGT PSA Aulnay – Lettre d’information n° 7

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 6 février 2013

CGT PSA Aulnay

Lettre d’information n° 7

06/02/2013

A LA UNE

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Des nouvelles de la grève

Lundi 4 février la grève a redémarré sans problème à l’usine. Nous étions trois cents grévistes aux portes de l’usine. Et nous sommes désormais plus de 480 grévistes enregistrés. La production est toujours à l’arrêt. L’ambiance était chaleureuse et dynamique.

La direction n’arrive pas à trouver des volontaires pour venir travailler à notre place. Même les chefs hésitent. À force de raconter que les grévistes font régner la terreur dans les ateliers, elle a réussi à convaincre de ne surtout pas venir à Aulnay. 200 cadres continuent à surveiller les grévistes. Mais loin d’intimider les grévistes, ils montrent leur inutilité et se ridiculisent au point que les grévistes les ont rebaptisés les « pots de fleurs ».

La direction cherche à briser les militants de la grève

Vendredi dernier, deux grévistes étaient convoqués au commissariat de Bobigny. Les faits reprochés sont ridicules. Pour Agathe Martin, il lui serait reproché d’avoir incité les grévistes à prendre les papiers d’un huissier. Pour le reste, la police évoque l’agression d’un huissier qui n’a aucun jour d’ITT ! Si on voulait démontrer que ces convocations ne visent qu’à intimider les grévistes mais que les dossiers sont vides, on ne ferait pas mieux. Les huissiers sont bien embauchés par la direction pour faire des rapports, mais comme ils ne trouvent rien à constater, ils en sont réduits à aller porter plainte eux-mêmes… pour eux-mêmes.

La direction a aussi convoqué quatre militants pour des entretiens en vue d’un licenciement. Les rendez vous avaient lieu le jour des négociations. Un nouvel exemple du « dialogue social exemplaire » vu par PSA. Les salariés ne s’y sont pas trompés. Et nombre de non grévistes ont rejoint la grève ce jour-là pour protester contre le licenciement de camarades qui défendent leur emploi. Le premier militant CGT convoqué a traversé une haie d’honneur de grévistes pour se rendre au rendez vous de la direction.

Toujours dans « l’exemplarité du respect de la liberté », la direction de PSA avait interdit la tenue d’un meeting de solidarité, sur le parking de l’usine. En conséquence, les portes étaient fermées, les cars déviés et des rangs serrés de vigiles en uniformes noirs étaient alignés derrière les grilles de l’usine. Tous les participants ont pu ainsi constater qui fait régner la terreur dans l’usine. Les travailleurs qui voulaient rejoindre le meeting, devaient traverser un premier rang de cadres puis un second rang de vigiles. Malgré cela, ils sont venus protester contre les méthodes de PSA.

La solidarité autour de la lutte des salariés de PSA

Le meeting a regroupé des personnalités politiques – MG Buffet, O.Besancenot, P.Laurent, N.Arthaud, A.Archimbaud (sénatrice verte) –, des élus du département, mais aussi des représentants syndicaux d’autres entreprises : PSA Poissy, Renault Lardy, Technocentre, Goodyear, Air France, Faurecia. Tous sont venus apporter leur soutien et exprimer la nécessité d’un combat commun contre les attaques en rafale du patronat.

L’attitude du gouvernement est significative

Montebourg a osé dire aux Goodyear de « mettre de l’eau dans leur vin » et aux travailleurs de Renault qu’il trouvait l’accord proposé par leur direction « modéré ». Et maintenant il affirme que la fermeture de PSA Aulnay est « inéluctable » à ses yeux. Il montre son vrai visage, celui d‘un homme politique au service des patrons et de la défense de leurs profits et détriment des emplois et des salariés. Pendant ce temps, le gouvernement aide PSA à combattre la grève et les grévistes.

Les salariés ne peuvent compter que sur leurs forces pour défendre leurs emplois, leurs salaires. Mais ces forces sont immenses car nous faisons tourner toute la société. La justesse de ce combat est la garantie de notre victoire prochaine

PLUS D’INFO sur le site :

http://cgt-psa-aulnay.fr/

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