FINANCER LES RETRAITES, C’EST POSSIBLE

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 31 juillet 2013

Le gouvernement Hollande s’apprête dès la rentrée à porter un nouveau coup au régime général de retraite.

Dans la même logique que les réformes précédentes, les actifs et retraités seraient appelés à supporter de nouveaux reculs. Parmi les « pistes » avancées par le rapport Moreau : allongement de la durée de cotisation pour bénéficier d’une retraite à taux plein, voire recul de l’âge légal de la retraite, alignement de la CSG des pensions sur celle des salaires, désindéxation de l’évolution des pensions sur l’évolution des prix,…
Selon eux, ces mesures seraient inéluctables pour équilibrer le régime général de retraite, dans le contexte de réduction des dépenses publiques imposé par Bruxelles et les marchés financiers. C’est une logique d’austérité et de rigueur qui nous enfonce dans la récession et l’augmentation du chômage.

Pourtant de l’argent pour financer les retraites, il y en a !!! et une autre répartition des richesses permettrait de financer une retraite de haut niveau.
Et de l’argent, il pourrait y en avoir bien plus encore si le gouvernement changeait de cap dans sa politique économique en favorisant la croissance, notamment en développant une véritable politique de relance industrielle et donc l’emploi et les salaires.
Car notre système de protection sociale par répartition est avant tout financé par les cotisations assises sur les salaires.

La CGT a une analyse et des propositions alternatives à cette constante dégradation des retraites imposée par les gouvernements successifs, de droite comme de gauche. (voir ci dessous)
Elle appelle les salariés, les privés d’emploi et les retraités à s’en saisir, à en débattre et à se mobiliser pour faire front face à cette nouvelle offensive.
L’Union Locale CGT Maubeuge et les syndicats CGT du territoire iront à la rencontre de la population et des salariés dans les entreprises durant cet été pour engager ce débat et construire ensemble la forte mobilisation indispensable à la rentrée.

Vous pourrez nous rencontrer régulièrement sur les marchés des principales localités du Bassin de la Sambre et nous serons présents toute la journée lors de la Foire à l’Ail de Feignies le dimanche 25 août prochain.

Les syndicats CGT appellent à participer massivement aux grèves et manifestations programmées le 10 SEPTEMBRE 2013 dans tout le pays :

A MAUBEUGE : MANIFESTATION LE 10 SEPTEMBRE 2013 A 9H30
Départ HOTEL DE VILLE DE MAUBEUGE
A LILLE : MANIFESTATION LE 10 SEPTEMBRE 2013 A 14H30
Départ PORTE DE PARIS

SALARIES, PRIVES D’EMPLOI, RETRAITES, JEUNES ET MOINS JEUNES, NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS CONCERNES ! TOUS ENSEMBLE FAISONS OBSTACLE A CES NOUVEAUX RECULS ET IMPOSONS D’AUTRES SOLUTIONS !

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pour agrandir les tracts, cliquer sur une des pages et faites dérouler en cliquant sur les flèches situées à droite et à gauche de chaque page

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Lettre ouverte au Président de la République

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 29 avril 2013

Publié le vendredi 26 avril 2013
Lettre ouverte au Président de la République

Thierry Lepaon écrit à François Hollande

Monsieur le Président,

Il n’est pas habituel que le Secrétaire général de la CGT écrive au Président de la République française. D’impérieuses raisons m’y conduisent.

Il y a maintenant un an, les françaises et les français vous élisaient Président de la République. Ils affirmaient ainsi le besoin d’une rupture avec la politique économique et sociale menée précédemment. De ce besoin vous en avez fait votre slogan : « le changement c’est maintenant ». La CGT s’était clairement exprimée pour un changement de majorité dans l’intérêt des salariés. Or, nous sommes contraints de constater l’écart grandissant entre vos engagements et les actes. Le décalage est immense entre les attentes des salariés et les réponses politiques apportées.

Pour les salariés, rien n’a changé positivement dans leur vie au travail et dans leurs conditions sociales. Mois après mois le chômage augmente, la précarité est le lot de plus en plus de salariés, les destructions d’emplois dans l’industrie, le commerce et les services font l’actualité. L’incertitude face à l’avenir et la faiblesse du pouvoir d’achat pèsent sur la consommation des ménages.

Les jeunes, premières victimes de la crise, constituent une véritable génération sacrifiée et subissent chômage, précarité et déclassement. C’est à cette situation qu’il faut répondre. Dans votre intervention, lors de l’ouverture de la précédente conférence sociale de juillet 2012, vous avez affirmé l’ambition de construire une « feuille de route sociale ». Une « feuille de route », en particulier en matière sociale, ne peut pas être continuellement remise en cause ou déchirée pendant le parcours.

L’augmentation des salaires et du pouvoir d’achat, l’emploi, la politique industrielle, les services publics, une protection sociale de haut niveau, les droits à la retraite, doivent être à l’ordre du jour de la future conférence sociale qui se tiendra les 20 et 21 juin prochain

La démocratie sociale et les moyens de l’exercer doivent aussi en être partie prenante

La séquence que nous venons de vivre avec la négociation de l’ANI sur la « sécurisation de l’emploi » et sa transcription dans la loi divise les français, les salariés, les organisations syndicales et les parlementaires, y compris ceux de la majorité.

Comment dans ces conditions le texte de l’accord du 11 janvier pourrait-il devenir loi de la République ?

Dans les prochains mois, les négociations vont se poursuivre dans les branches professionnelles et les entreprises avec des représentativités syndicales différentes, et des clivages accentués. Il y aura aussi l’expérience, le principe de réalité, vous le savez, s’impose à tous.

Votre gouvernement vient de refuser une loi d’amnistie pour les syndicalistes concernant la précédente mandature. Derrière la loi d’amnistie se joue aussi la condamnation de la politique de votre prédécesseur dont la brutalité a contraint nombre de salariés à se mobiliser et à agir. Beaucoup ont voté pour vous et vous les rejetez. La poursuite de cette attitude serait incompréhensible.

La rupture avec les politiques d’austérité et de rigueur budgétaire doit être à l’ordre du jour en France et en Europe. C’est l’appel de la Confédération Européenne des Syndicats et de ses 85 organisations à agir pour « changer de cap », à l’occasion de la semaine d’action du mois de juin.

Les peuples d’Europe peuvent témoigner des conséquences dramatiques au niveau économique et social de ces politiques d’austérité. Des institutions, des économistes les remettent en cause. Même la Commission européenne vient timidement d’admettre leur inefficacité.

C’est à partir de la situation sociale et des possibilités de répondre aux attentes des salariés que la CGT s’engagera lors de la prochaine conférence sociale.

Veuillez agréer, Monsieur le President, mes salutations distinguées

Thierry Lepaon
Secrétaire général de la CGT

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Vernissage 1913-2013… et demain ?

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 19 avril 2013

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1er mai 2013

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 16 avril 2013

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La CGT

1er Mai 2013

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Mobilisation solidaire internationale

de tous les travailleurs

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Pour le progrès social,

mettons les pieds dans le plat !

 

De l’argent, il y en a dans les poches du patronat, dans les coffres des possédants, dans les banques, ici ou dans les paradis fiscaux, sur les marchés financiers partout dans le monde. Il circule, il se cache, il est surabondant.

C’est cet argent qui ne va pas à l’investissement productif, au logement, au développement des services publics, à la protection sociale. C’est cet argent qui manque en fin de mois aux salariés condamnés aux petits salaires, au chômage, aux petites retraites, aux minima sociaux.

Partout, on nous dit que nous coûtons trop cher !

Mais c’est nous qui, par notre travail, créons la richesse !

Alors oui, il est temps que les salariés mettent les pieds dans le plat

Pour sortir de la crise :

  • Augmentons d’abord les salaires. En France, le salaire minimum d’embauche d’un jeune sans diplôme doit être porté à 1700 euros. C’est à partir de ce salaire minimum que nous reconstruirons partout des grilles salariales. Ce sont les salaires qui alimentent les caisses de la protection sociale pour la santé, la retraite, l’assurance chômage. Partout dans le monde il faut un salaire minimum pour empêcher le dumping social généralisé.
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  • Développons l’emploi. Nous refusons la mise en concurrence des sites, des salariés entre eux dans les différents pays. Tous les travailleurs et les entreprises en souffrent ! Les banques, les financiers doivent être contraints de diriger l’argent vers l’investissement productif créateur d’emploi. Nous exigeons des mesures immédiates pour arrêter de brader nos outils de production mais au contraire pour développer notre appareil productif, les services publics et permettre une reconquête industrielle. Des filières entières sont à recréer ou à créer, des centaines de milliers d’emplois sont en jeu.
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  • Protégeons les salariés des aléas de la vie professionnelle et sociale. Notre syndicalisme a été créateur de notre sécurité sociale, de nos retraites par répartition, de l’assurance maladie, des allocations familiales, de l’assurance chômage. Non seulement nous les défendons mais nous proposons de les étendre. Partout dans le monde, les travailleurs ont besoin de cette protection et nous envient.
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    C’est à cette protection sociale qu’aspirent les travailleurs en Chine, au Bangladesh, en Amérique latine et dans tant de pays.C’est aussi à un droit du travail protecteur pour les salariés. Or c’est ce droit du travail dans lequel coupe à la hache l’accord interprofessionnel du 11 janvier et sa transposition dans la loi. Celle-ci protège les employeurs et flexibilise davantage les salariés. Un comble ! De la flexibilité, du dumping social, des chantages patronaux il y en déjà trop.La CGT propose au contraire une sécurité sociale professionnelle qui redonne des droits aux salariés, permettrait la continuité du contrat de travail, une protection contre les aléas de la vie professionnelle.

Salariés , dans le monde entier nos intérêts sont communs !

Construire l’unité des salariés pour faire naître l’espoir

Partout, la même politique d’austérité et la restriction des droits démocratiques est imposée aux salariés et aux populations. Elles aggravent la crise, plongent les peuples dans la misère et provoquent la récession notamment dans toute la zone euro.

Pour être plus fort, il faut se rassembler !

Les salariés doivent construire leur unité avec leurs organisations syndicales depuis leur lieu de travail jusqu’à l’échelle mondiale.

Le patronat défend ses intérêts    ► défendons nos intérêts de salariés

Ils veulent nous mettre en concurrence

                    ►Opposons-leur notre solidarité

Ils nous imposent l’austérité

                    ►Augmentons les salaires

Ils provoquent la récession

                    ►Créons une dynamique économique et sociale de progrès

Ils provoquent le chômage

                    ►Nous voulons travailler, produire, développer l’emploi

Ils bafouent les droits syndicaux Ils bafouent les droits syndicaux et les libertés démocratiques

                    ►Imposons une extension des droits, des libertés et de la démocratie

Ils spéculent

                    ►Dirigeons l’argent vers l’investissement productif

Ils sécurisent les employeurs et flexibilisent les salariés

                    ►Sécurisons les salariés et responsabilisons les employeurs

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Le 1er Mai 2013, mobilisons-nous partout

contre l’austérité, pour l’emploi et le progrès social

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Journée du 9 avril 2013 – Déterminés et mobilisés !

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 10 avril 2013

Publié le mardi 9 avril 2013
Journée du 9 avril

Déterminés et mobilisés

Quelques 120 000 salariés sont descendus dans la rue, dans de nombreuses villes, à l’appel de la CGT, de FO, la FSU et Solidaires.

A Paris, sous une pluie battante, ils étaient 30 000 à défiler de Montparnasse aux abords du Palais Bourbon.

Thierry Lepaon, secrétaire général de la CGT, appelle à poursuivre cette mobilisation et rendez-vous est donné pour une grande manifestation le 1er Mai.

- Voir la vidéo :  http://www.cgt.fr/Determines-et-mobilises.html

Après l’adoption par l’Assemblée, mettons la pression sur le Sénat

Par 250 voix, les députés ont adopté en première lecture une transposition de l’Accord national Interprofessionnel du 11 janvier 2013. Le gouvernement, qui voudrait que le texte soit applicable avant l’été, a décidé d’une procédure législative accélérée.
Ce texte en retient les dispositions les plus destructrices pour le droit du travail.
Même si certaines d’entre elles ont dû être corrigées suites aux nombreuses réactions que ce projet suscite, l’essentiel demeure : flexibilité, mobilité forcée, chantage à l’emploi pour baisser les salaires …, autant de reculs sociaux qui nécessitent de poursuivre l’information et la mobilisation des salariés.

Il y a urgence à continuer de se mobiliser !

Depuis des années, le Medef veut faire croire que « les licenciements d’aujourd’hui font les emplois de demain », qu’il faut flexibiliser le travail pour que « les employeurs n’aient pas peur d’embaucher ». Mais chaque jour, c’est 1 000 salariés de plus qui se retrouvent au chômage. Les plans de départs « volontaires » et le nombre de ruptures conventionnelles explosent. Dans les grands groupes, les licenciements boursiers jettent à la rue des milliers de salariés, directs et sous-traitants et continuent de ravager des pans entiers de notre économie. Et il faudrait encore flexibiliser ?! Il faudrait encore plus sécuriser les licenciements ?

L’accord Medef du 11 janvier prétend poser les bases d’un « nouveau modèle économique et social. Quelques exemples :
- il détruit les garanties collectives nationales comme socle minimal applicable à chaque salarié quelle que soit la taille de son entreprise. Il favorise les accords d’entreprise, voire le « gré à gré », en « oubliant » que le salarié n’est pas libre de ses choix, seul face à son employeur ;
- le contrat de travail signé n’est plus une garantie pour le salarié puisqu’il peut être suspendu (jusqu’à 2 ans !) par un accord d’entreprise ;
- la mobilité imposée devient la règle, même si le contrat de travail ne la prévoyait pas, avec pour sanction le licenciement si le salarié la refuse ;
- il réduit les moyens pour le salarié d’obtenir réparation auprès de la justice, par exemple en ne permettant pas de remonter au-delà de trois ans pour demander aux Prud’hommes des salaires ou des heures supplémentaires non payées. Cette mesure va particulièrement frapper les salariés des petites entreprises dépourvues de syndicats ;
- la consultation sur la réalité du motif économique s’efface derrière la négociation sur le contenu du « plan de sauvegarde de l’emploi » et le processus de consultation du CE. À quoi pourra bien servir une éventuelle loi sur les licenciements boursiers si on ne peut plus débattre de la véracité du motif économique ?

Pour faire baisser le chômage, il faut sortir du toujours plus flexible, du toujours plus précaire !

La CGT revendique :
- un droit de veto suspensif des représentants du personnel sur les plans de licenciement et les plans de restructuration, permettant la recherche et la construction de propositions alternatives aux licenciements ;
- une loi contre les licenciements boursiers et pour la reprise des sites rentables, en cas de menace de fermeture ;
- la généralisation de la présence des représentants des salariés dans les conseils d’administration et de surveillance avec voix délibérative ;
- une gestion prévisionnelle des emplois qui ne soit pas une gestion prévisionnelle des suppressions d’emplois ;
- l’encadrement des ruptures conventionnelles et la lutte contre le passage forcé à l’auto-entreprenariat ;
- des instances représentatives interentreprises du personnel pour gagner une plus grande responsabilité des donneurs d’ordre vis-à-vis de leurs sous-traitants ;
- des CHSCT centraux à l’instar des CCE, avec respect des droits et moyens pour les CHSCT locaux ;
- l’extension du contrat de sécurisation professionnelle à tous les salariés des entreprises de moins de 50 salariés et l’amélioration du congé de reclassement dans les entreprises de plus de 50 ;
- la construction d’un droit au travail à temps plein, sur un bassin d’emplois, pour les salariés pouvant cumuler plusieurs temps partiels ;
- des droits attachés à la personne, transférables d’une entreprise à une autre pour tous les salariés (ancienneté, qualification, formation, prévoyance…) à négocier au niveau des branches ;
- une taxation de tous les CDD et des contrats d’intérim, à hauteur de ce qu’ils coûtent à l’assurance chômage ;
- un compte individuel de formation opposable à l’employeur et un renforcement des droits à la formation professionnelle qualifiante pour chaque salarié, quel que soit son parcours.

Les mobilisations du 5 mars, puis du 9 avril l’interpellation des parlementaires ont permis des premiers « bougés » entre l’Accord du 11 janvier et le projet de loi adopté par les députés.

Le salarié qui refuserait une mobilité forcée ou la suspension des garanties de son contrat de travail (salaire, horaires,..) ne serait plus licencié pour « motif personnel » mais subirait un licenciement « reposant sur un motif économique ». C’est bien le moins pour tenter de respecter le droit international !

Les délais fixés préalablement au CE pour qu’il rende son avis doivent lui « permettre d’exercer utilement sa compétence » et donc ne pourront pas être inférieurs à… quinze jours.

La consultation du CE doit avoir lieu… « avant que les orientations stratégiques ne soient définitivement arrêtées » ( !).

Des représentants des salariés dans les conseils d’administration avec voix délibérative sont maintenant prévus dans les « sociétés  » qui emploient au moins 5 000 salariés « avec leurs filiales directes ou indirectes » sur le territoire national, et non plus dans les seules « entreprises » de 5 000 salariés et plus L’avis rendu par l’instance de coordination CHSCT se substitue aux consultations existantes des CHSCT… seulement « si l’accord d’entreprise le prévoit ».

Malgré les intenses pressions des patrons des assurances et de l’ensemble du Medef, la désignation d’un seul organisme de « complémentaire santé » pour toute une branche (donc permettant des droits égaux entre salariés de petites et grandes entreprises) reste possible.

Mais on est très, très loin du compte ! Ce projet de loi continue de sécuriser les licenciements et non pas l’emploi, de sécuriser la délinquance patronale et non pas les droits des salariés.

Les exigences du Medef ne doivent pas faire la loi.

Après cette mobilisation du 9 avril, le 1er Mai, journée internationale du Travail, sera un nouveau temps fort. A travers toute l’Europe, les salariés exprimeront leur volonté de voir apporter d’autres réponses face à la crise, l’austérité et la déréglementation sociale.

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9 avril : mobilisation nationale interprofessionnelle

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 4 avril 2013

CGT

Publié le mardi 2 avril 2013

9 avril : mobilisation nationale interprofessionnelle

Vidéo et appel Clic sur le titre

Les exigences du Medef ne doivent pas faire la loi !

9 avril : mobilisation nationale interprofessionnelle dans Actions_nationales carte_de_france_manifs-4

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ANI – 9 avril 2013 !

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 29 mars 2013

ANI - 9 avril 2013 ! dans Actions_nationales 9-avril_orga-soc

Appel à télécharger    fichier pdf v APPEL FD 9 AVRIL

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Campagne pour le pouvoir d’achat des retraités – vidéo

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 21 mars 2013

Union confédérale des retraités CGT

PUBLIÉ LE 21 février 2013

Campagne pour le pouvoir d’achat des retraités

http://www.cgt.fr/Campagne-pour-le-pouvoir-d-achat.html

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INDECOSA CGT – mobilisation des personnels de la DGCCRF les 21 mars et 6 avril 2013.

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 21 mars 2013

INDECOSA CGT - mobilisation des personnels de la DGCCRF les 21 mars et 6 avril 2013. dans Actions_nationales indecosa-france-110x150Depuis plusieurs mois, le personnel de la DGCCRF est mobilisé pour que des moyens leur soit donné afin de pouvoir assurer dans les meilleures conditions leur mission de service public de contrôle et de protection économique des consommateurs.
Les derniers évènements sur le scandale de la viande de cheval, viennent confirmer ce besoin de renforcer les contrôles et les sanctions.

Afin de soutenir leur mouvement, grève le 21 mars et manifestation le 6 avril à Paris, INDECOSA-CGT a réalisé un

Communiqué de presse

Montreuil, le 19 mars 2013

Consommateurs et personnel de la DGCCRF : Ensemble dans l’action pour une véritable police économique !

Depuis la mise en place en 2009 de la RGPP (révision générale des politiques publiques), la DGCCRF  a vu ses effectifs diminuer de près de 20 % (de 3560  on est passé à 3000).

Cette baisse du nombre d’agents s’est accompagnée d’une réforme radicale des structures administratives. Cette réforme a de plus entraîné une chute des contrôles dans les entreprises et par conséquent une chute des dispositifs de sanctions afin de favoriser une politique « de concurrence libre et non faussée ».

Cette véritable hécatombe dans les effectifs des agents en charge de la police économique devait, tôt ou tard, nous conduire à la crise que nous vivons actuellement avec le scandale de la viande de cheval dans les plats préparés.

Les consommateurs ont réagi vivement en se détournant des produits concernés ce qui a entrainé une baisse de 30 % du chiffre d’affaires dans la filière agroalimentaire. Cette perte de confiance a pour conséquence une dégradation de l’activité économique du secteur.

Les réponses du gouvernement ne sont pas satisfaisantes puisqu’il s’en remet une nouvelle fois à la bienveillance des entreprises à travers les « autocontrôles ».

La réponse la plus appropriée ou la plus adéquate serait de donner les moyens de contrôle suffisants pour assurer les missions régaliennes de l’État (protection économique et sanitaire des consommateurs).

C’est dans cet esprit que l’association de consommateurs INDECOSA-CGT apporte son soutien au mouvement de mobilisation des personnels de la DGCCRF le 21 mars et 6 avril 2013.

Contacts :

Arnaud FAUCON au 06 08 10 62 42
Alicia GIRARDIN au 06 71 32 73 61        

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Retraites – 28 mars 2013

Posté par cgtmaubeugeenvirons le 20 mars 2013

Pour information et suivi  mail reçu en réponse à l’interpellation des élus du Nord.

Objet : Action retraités du 28 mars 2013

M. Jean-Jacques Candelier interroge M. le Premier ministre sur les inquiétudes des organisations syndicales de retraités.

Les organisations syndicales de retraités représentatives (CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, UNSA, FGR-FP) se sont rencontrées le jeudi 7 février 2013. A l’écoute de leurs adhérents retraités et de tous les retraités, elles ont examiné et débattu de la situation des retraités dont leur pouvoir d’achat.

Force est de constater que l’augmentation des dépenses contraintes (loyer, énergie, mutuelle, santé…) ainsi que les différentes mesures appliquées entrainent la baisse sensible du niveau de vie de tous les retraités. Les conditions de vie des femmes et des retraités très âgés restent très préoccupantes.

La revalorisation de toutes les pensions de retraite est prévue le 1er avril 2013 comme le prévoit la loi. Les organisations  syndicales de retraités s’inquiètent des déclarations visant à recommander une désindexation des pensions de retraite au 1er avril prochain. Elles réclament, au contraire, un rattrapage significatif afin de tenir compte des hausses des dépenses de première  nécessité et du coût de la vie.

Il demande au Premier ministre s’il compte leur accorder l’audience demandée avant le 1er avril et écouter leurs légitimes revendications.

________________________________
Cordialement,
Le cabinet de Jean-Jacques Candelier,
Député du Nord,

Siège du Député,
Place Victor Brachelet
59490 SOMAIN

www.jeanjacquescandelier.fr
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http://www.facebook.com/candelier2012
http://twitter.com/jjcandelier

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