Posté par cgtmaubeugeenvirons le 18 août 2010
Devant les menaces, les altercations, voire les agressions, sur l’axe Lille-Jeumont, les contrôleurs ont décidé de cesser le travail de jeudi 20 h à vendredi 20 h, grève par ailleurs reconductible.
Les propositions de la direction sncf pour améliorer leurs conditions de travail, la sureté et également le confort et la quiétude des usagers sont actuellement nettement insuffisantes pour aller vers un retrait de cette action !
tractsncfagressionaxe11308101.doc
Article La Voix du Nord
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Posté par cgtmaubeugeenvirons le 18 août 2010
TRACTS
tract7septembre20101.pdf
tract7sept2010maubeuge311.pdf
7 septembre 2010
Journée nationale interprofessionnelle unitaire
de grèves et de manifestations pour nos revendications
Mensonges et Omissions se succèdent !
Finalement, pas aussi sûr de lui le gouvernement !
Il utilise 22 millions de nos deniers publics pour une campagne de propagande et de mensonges vantant sa casse du système de retraite.
Un mensonge de plus, lorsqu’il déclare que les retraités ne seraient pas touchés par sa réforme !
L’avenir des retraites est un choix de société !
Retraités, actifs, sans emploi, services publics comme privés,
nous sommes tous concernés, se mobiliser est indispensable pour gagner !
- Manifestation à Maubeuge
10 H – rassemblement devant le local de la députée, Espace Rive-Gauche, mail de la Sambre → Ramenez bidons, sifflets, etc…
- Manifestation régionale à Lille
14 H – Porte de Paris
→ pour la manif régionale à Lille, 2 bus sont prévus au départ de l’UL CGT à 13 H – Tél. 03 27 64 64 50
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Posté par cgtmaubeugeenvirons le 18 août 2010
mercredi 18 août 2010, par Frédéric Dayan
Les femmes toujours soupçonnées et pénalisées
Qu’elles aient ou pas interrompu leur activité professionnelle pour s’occuper de leurs enfants, les femmes gagnent en moyenne 17% de moins que les hommes . Un écart d’autant plus injuste que dans la tranche d’âge 39-49 ans qui a fait l’objet d’une étude de l’Institut national de la Statistique et des Etudes économiques et de l’Institut national d’Etudes démographiques, les femmes sont en moyenne plus diplômées que les hommes.
En effet, 19% d’entre elles ont obtenu au minimum un baccalauréat plus trois contre 17% chez leurs collègues masculins. « Avoir ou ne pas avoir d’enfants ne paraît pas influencer significativement le salaire horaire », souligne l’étude.« Tout se passe comme si les femmes qui n’ont jamais eu l’intention d’interrompre leur carrière n’ont pas pu envoyer un signal crédible aux employeurs sur leur engagement à long terme », indique l’étude. Une fois embauchées, les femmes sans enfants restent ainsi l’objet d’une « suspicion d’un moindre attachement à leur poste » de la part de leurs employeurs.
Quelles sont les causes de cet écart ?
L’étude pointe que 30% du différentiel de salaire sans interruption de carrière est lié au fait que les hommes occupent « moins souvent des emplois à temps partiel », travaillent dans « des secteurs économiques plus rémunérateurs » ou occupent « des postes plus élevés ». En d’autres termes, 70% de l’écart reste injustifié.
Une discrimination pure
Interrogée dans l’Humanité du 17 août, Rachel Silvera (économiste à l’espace Syndicalisme et Société de la CGT, maîtresse de conférences à Paris-X) estime que « cette étude montre qu’il existe une vraie discrimination qui va au-delà de l’écart salarial dû au décrochage tout au long de la carrière pour maternité ou temps partiel. Il y a une discrimination indirecte dans le sens où ce n’est pas seulement au moment des maternités que les femmes subissent des retards de carrière. Il existe une suspicion de la part de l’employeur le conduisant à ne pas confier les mêmes responsabilités aux femmes qu’aux hommes, à ne pas les promouvoir pareillement car il a en tête qu’elles vont avoir des enfants et donc ne vont pas être disponibles. Quand elles sont plus âgées, l’employeur pense d’emblée qu’elles vont s’occuper de leurs parents. Il gardera toujours à l’esprit ce lien même quand il
n’existe pas ou quand il n’est pas prouvé. C’est vraiment une discrimination pure. [...] On considère encore que le salaire des femmes est un salaire d’appoint, qu’il n’est donc pas dramatique qu’elles soient moins payées que les hommes. La tolérance sociale est d’autant plus vraie lorsqu’il s’agit de femmes défavorisées. On est indifférent au fait que ces personnes puissent avoir des temps de travail très courts et des conditions de travail déplorables. Les négociations dans les entreprises restent très faibles. On parle de menaces de sanctions sans passer à l’acte
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